Canada
Sortie(s) : 03 mai 2006 (France)non daté (USA)
Réalisateur : Jean-Marc Vallee
Scénario : François Boulay, Jean-Marc Vallee
Directeur de la photographie : Pierre Mignot
Montage : Paul Jutras
Costumes : Ginette Magny
Comédie dramatique
129 mn
Distribution :
Michel Cote (Gervais Beaulieu), Marc-André Grondin (Zachary Beaulieu), Émile Vallée (Zachary Beaulieu (Enfant), Danielle Proulx (Laurianne Beaulieu), Maxime Tremblay (Christian Beaulieu), Pierre-Luc Brillant (Raymond Beaulieu), Alex Gravel (Antoine Beaulieu), Felix-Antoine Despatie (Yvan Beaulieu), Natasha Thompson (Michelle), Johanne Lebrun (Doris), Mariloup Wolfe (Brigitte), Jean-Alexandre Létourneau (Christian Beaulieu, De 15 À 17 Ans), Marie-Michelle Duchesne (Michelle (Enfant), Antoine Côté-Potvin (Raymond Beaulieu, De 13 À 15 Ans), Sébastien Blouin (Antoine Beaulieu, De 12 À 14 Ans), Gabriel Lalancette (Yvan Beaulieu, De 8 À 9 Ans), Élizabeth Adam (Brigitte (Enfant), Charles-Édouard Tanguay (Chistian Beaulieu (Enfant)), Emmanuel Raymond (Raymond Beaulieu (Enfant), Émile Gagnon-Girard (Antoine Beaulieu (Enfant).
Synopsis :
Un portrait de famille qui dépeint la vie souvent extraordinaire de gens ordinaires à la poursuite de leur bonheur.De 1960 à 1980, entouré de ses quatre frères, de Pink Floyd, des Rolling Stones et de David Bowie, entre les promenades en moto pour impressionner les filles, les pétards fumés en cachette, les petites et grandes disputes et, surtout, un père qu'il cherche désespérément àretrouver, Zac nous raconte son histoire...25 décembre 1960 : Zachary Beaulieu vient au monde entre une mère aimante et un père un peu bourru mais fier de ses garçons.C'est le début de C.R.A.Z.Y., le récit de la vie d'un petit garçon puis d'un jeune homme pas comme les autres, qui va jusqu'à renier sa nature profonde pour attirer l'attention de son père.
Photos
Secrets du Tournage :
http://www.allocine.fr/film/anecdote_gen_cfilm=92604.html
Site officiel :
http://www.ocean-films.com/crazy/
Vidéos :
http://fr.youtube.com/watch?v=vt81cuoa9Is
http://fr.youtube.com/watch?v=qdNnozoJ4vU
http://fr.youtube.com/watch?v=BVcY6AowLas
http://fr.youtube.com/watch?v=G1bWY5G_84M
Membres
Homosexualité au cinéma
Homosexualité au cinéma
L’homosexualité au cinéma consiste à montrer au cinéma des situations où l'homosexualité, sous toutes ses formes, est présente et non-dissimulée.
Longtemps quasi-inexistante ou censurée, c'est une thématique qui ne s'est développée vraiment au cinéma qu'à partir des années 1960, marquées par la libération des mœurs.
Plus qu'en littérature peut-être, l'homosexualité a eu au cinéma une fonction marquée de revendication. Cela tient au fait que ce moyen d'expression s'est développé dans cette période de libération des mœurs, mais aussi peut-être à ce que les images permettent de toucher plus directement le public. Néanmoins, la présentation de l'homosexualité, sous toutes ses formes, ne se résume pas à son illustration ou à sa défense. Le tournant en ce domaine, grand-public, semble avoir été atteint en 2006 par Le Secret de Brokeback Mountain d'Ang Lee qui, par son succès mondial, le nombre impressionnant de récompenses et les réactions qu'il a déclenchées, a permis sans doute d'atteindre une nouvelle dimension à ce genre, un impact social avec un vaste écho. Deux ans plus tard, avec Harvey Milk de Gus Van Sant, pour lequel Sean Penn remporte l'Oscar du Meilleur acteur, « c'est le premier film hollywoodien grand public où le personnage est gay sans s'excuser de l'être ».
Les formes que peut prendre l'homosexualité au cinéma sont donc, de façon schématique, au nombre de trois :
* revendicatrice : c'est une fonction bien représentée à partir des années 1990. Citons en vrac Fucking Åmål, Before Night Falls, Memento Mori (qui peut paraître timide à des yeux occidentaux mais marque un grand pas en avant en Corée du Sud)
* esthétique : on a un prototype de cette homosexualité « distanciée » avec Persona d'Ingmar Bergman, où tout se résume à un jeu de reflets, d'ombres et d'illusions ; le même fonctionnement se retrouve dans Mulholland Drive de David Lynch
* jouissive : cette dernière fonction peut inspirer le meilleur comme le pire, du Théorème de Pier Paolo Pasolini au Caravaggio de Derek Jarman en passant par Tabou de Nagisa Ōshima. Il s'agit souvent (mais pas toujours) de films faits par des homosexuels pour un public homosexuel, ce qui les rend parfois un peu répétitifs.
Proches de la fonction revendicatrice mais un peu à part, certains films se contentent de montrer sans vraiment juger, comme My Beautiful Laundrette de Stephen Frears. (Wikipédia)
mercredi 3 octobre 2007
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