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Homosexualité au cinéma


Homosexualité au cinéma

L’homosexualité au cinéma consiste à montrer au cinéma des situations où l'homosexualité, sous toutes ses formes, est présente et non-dissimulée.

Longtemps quasi-inexistante ou censurée, c'est une thématique qui ne s'est développée vraiment au cinéma qu'à partir des années 1960, marquées par la libération des mœurs.

Plus qu'en littérature peut-être, l'homosexualité a eu au cinéma une fonction marquée de revendication. Cela tient au fait que ce moyen d'expression s'est développé dans cette période de libération des mœurs, mais aussi peut-être à ce que les images permettent de toucher plus directement le public. Néanmoins, la présentation de l'homosexualité, sous toutes ses formes, ne se résume pas à son illustration ou à sa défense. Le tournant en ce domaine, grand-public, semble avoir été atteint en 2006 par Le Secret de Brokeback Mountain d'Ang Lee qui, par son succès mondial, le nombre impressionnant de récompenses et les réactions qu'il a déclenchées, a permis sans doute d'atteindre une nouvelle dimension à ce genre, un impact social avec un vaste écho. Deux ans plus tard, avec Harvey Milk de Gus Van Sant, pour lequel Sean Penn remporte l'Oscar du Meilleur acteur, « c'est le premier film hollywoodien grand public où le personnage est gay sans s'excuser de l'être ».

Les formes que peut prendre l'homosexualité au cinéma sont donc, de façon schématique, au nombre de trois :

* revendicatrice : c'est une fonction bien représentée à partir des années 1990. Citons en vrac Fucking Åmål, Before Night Falls, Memento Mori (qui peut paraître timide à des yeux occidentaux mais marque un grand pas en avant en Corée du Sud)

* esthétique : on a un prototype de cette homosexualité « distanciée » avec Persona d'Ingmar Bergman, où tout se résume à un jeu de reflets, d'ombres et d'illusions ; le même fonctionnement se retrouve dans Mulholland Drive de David Lynch

* jouissive : cette dernière fonction peut inspirer le meilleur comme le pire, du Théorème de Pier Paolo Pasolini au Caravaggio de Derek Jarman en passant par Tabou de Nagisa Ōshima. Il s'agit souvent (mais pas toujours) de films faits par des homosexuels pour un public homosexuel, ce qui les rend parfois un peu répétitifs.

Proches de la fonction revendicatrice mais un peu à part, certains films se contentent de montrer sans vraiment juger, comme My Beautiful Laundrette de Stephen Frears. (Wikipédia)

jeudi 31 janvier 2008

Les Choses de l'amour (1988)


Espagne
Titre original : Las Cosas Del Querer
Réalisateur : Jaime Chavarri
Musical
91 mn
Distribution :
Angela Molina, Andel De Andres Lopez, Manuel Bandera, Maria Barranco, Amparo Baro, Marie Carmen Ramirez, Juan Gea, Eva Leon, Diana Penalver, Santiago Ramos, Miguel Molina, Francisco Racionero, Rafael Alonso, Manuel Gallardo, Maria Paz Ballesteros, Maria Rus, Antonio Canal, Luis Barbero, Abel Viton, Ricardo Palacios, Joe Camroy, Francisco Cambres, Juan Calot, Candida Galan, José Cerro, Mria Elena Flores, Felix Navarro, Françis Lorenzo, Amado Cruz, Maruja Recio, Emilio Laguna, Emilio Del Valle
Synopsis :
Pepita, chanteuse dans un cabaret, rencontre pendant la guerre un militaire espagnol, Juan, qui s'éprend d'elle. Ils se retrouvent à la fin des hostilités et fondent un trio musical avec Mario, un jeune homosexuel ami de l'ancien soldat. Ils deviennent célèbres rapidement mais entre eux les choses se gatent ..... (Ciné Fiches)

Le Quatrième Homme (1983)


Pays-Bas
Titre original : De Veirde Man
Réalisateur : Paul Verhoeven
Drame, Thriller
95 mn
Distribution :
Jeroen Krabbé, Renée Soutendijk, Thom Hoffman, Dolf de Vries, Geert de Jong, Hans Veerman, Hero Muller, Caroline de Beus, Reinout Bussemaker, Erik J. Meijer
Synopsis :
Un écrivain célèbre sujet à d'étranges visions, à la fois morbides et érotiques, croise le chemin d'une femme fatale. Une histoire d'amour trouble où rêve et réalité se confondent Gerard Reve, écrivain fauché et alcoolique, donne une conférence au cours de laquelle il fait la connaissance de Christine Halsslag, une belle et riche veuve. Gerard et Christine passent la nuit ensemble. Mais le romancier est une nouvelle fois troublé par une vision angoissante : une femme en bleu, un cimetière et sa propre castration avec des ciseaux.

mercredi 23 janvier 2008

Décès de Heath Ledger


L'acteur australien Heath Ledger, 28 ans, un des deux héros du film "Le secret de Brokeback Mountain", a été retrouvé mort à New York, a indiqué mardi la police.

mardi 22 janvier 2008

Les Délices De Nina (2006)

Grande-Bretagne
Date de sortie : Prochainement
Réalisatrice : Pratibha Parmar
Producteur : Pratibha Parmar, Chris Atkins, Marion Pilowsky
Producteur associé : Neil Chordia
Producteur exécutif : Colin Leventhal, Margaret Matheson, Scott Meek
Producteur délégué : Angela Murray
Scénariste : Andrea Gibb, Pratibha Parmar
Directeur de la photographie : Simon Dennis
Compositeur : Steve Isles
Monteuse : Mary Finlay
Directeur artistique : Margaret Horspool
Chef décorateur : Andy Harris
Comédie, drame
94 mn
Distribution :
Shelley Conn (Nina), Laura Fraser (Lisa), Ronny Jhutti (Bobbi), Art Malik (Raj), Raji James (Sanjay), Veena Sood (Suman), Raad Rawi (Mohan), Zoe Henretty (Priya), Atta Yaqub (Kary), Kathleen Mcdermott (Janice), Adam Sinclair (Fish), Rita Wolf (Tata Tumi), Francisco Bosch (Shriv), Elaine C. Smith (Tata Mamie).
Synopsis :
Nina, une jeune femme, quitte la maison familiale. Quand son père meurt, elle retourne dans sa famille qui possède un restaurant indien. Son retour apporte son lot de surprise, elle découvre que son père avait contracté des dettes de jeu, elle sera confrontée à son ex-fiancé et rencontrera Lisa, une jeune femme charismatique qui possède maintenant la moitié du restaurant. (AlloCiné)

Wie die Karnickel (2002)


Allemagne
Date de sortie 13 septembre 2002
Réalisateur : Sven Unterwald
Scénario : Ralf König
Musique : Marius Ruhland
Interdit au moins de 14 ans
Comédie
84 mn
Distribution :
Anna Böttcher, Elke Czischek, Alfonso Losa, Michael Lott, Niels Ruf, Heinrich Schafmeister, Heinrich Schmieder, Andreja Schneider, Kelly Trump, Irmhild Wagner, Sven Walser
Synopsis :
Après avoir découvert des vidéocassettes pornographiques, une femme délaisse son mari, un contrebassiste niais, obsédé par le sexe. Son voisin, un homosexuel, va lui faire prendre conscience de sa vraie virilité. Horst va ainsi se mettre à fréquenter une diva dont la passion dévorante va vite le dépasser. Pendant ce temps, son épouse va essayer de sauver leur mariage ..... (Ciné Fiches)

Hölderlin, Le cavalier de feu (1998)


Allemagne, France, Pologne, Autriche
Réalisatrice : Nina Grosse ¨
Producteur : Christian Granderath, Jürgen Haase
Scénariste : Susanne Schneider
Directeur de la photographie : Egon Werdin
Compositeur : Biber Gullatz, Eckes Maltz
Monteuse : Patricia Rommel
Comédie Dramatique, Historique, Biopic
137 mn
Distribution :
Martin Feifel (Friedrich Hölderlin), Marianne Denicourt (Susette Gontard), Ulrich Matthes (Isaac Von Sinclair), Nina Hoss (Marie).
Synopsis :
Evocation de la vie d'un des plus grands poètes allemands, Friedrich Holderlin, son amitié avec le baron Isaac von Sinclair, sa relation amoureuse avec Susette Gontard, enfin sa maladie et la trahison du baron, qui ne supporte plus cet ami devenu fou. (AlloCiné)

Killer Kondom (1996)


Allemagne, Suisse
Date de sortie : 9 juin 1999
Titre original : Kondom des grauens
Scenario : Mario Kramp, Martin Walz, Ralf Koenig
D'apres la bande dessinee de Ralf Koenig
Produit par Ralph S. Dietrich, Harald Reichebner
Musique : Emil Viklicky
Interdit aux moins de 16 ans
Comédie
103 mn
Distribution :
Udo Samuel, Peter Lohmeyer, Marc Richter, Léonard Lansink, Iris Berben, Henning Schüter, Ron Williams, Ralf Wolter, Adriana Altaras, Evelyn Künneke, Gerd Wameling, Meret Becker, Otto Sander, Monika Hansen, Hella Von Sinnen, Weijain Liu, Peter Kruger, Emanuela Mattioli, Dani Levy, Georg-Martin Bode
Synopsis :
A New York, un preservatif carnivore seme la panique parmi la population homosexuelle. Lui Mackaroni, un detective gay qui a subi un assaut du dangereux objet, mene l'enquete... (Cine Fiches)

Ma Saison Super 8 (2005)

France
Réalisateur : Alessandro Avellis
Comédie dramatique
77 mn
Distribution :
Axel Philippon, Célia Pilastre, Roman Girelli et Antoine Mory...
Synopsis :
Paris, début des années 1970. Après l’échec de son comité pédérastique dans la Sorbonne occupée de mai 68, Marc, un jeune étudiant, vit tant bien que mal sa condition d’homosexuel. En même temps, Julie, sa meilleure amie, s’implique de plus en plus dans la cause féministe et cherche à nouer le dialogue avec la classe ouvrière. Face à une société répressive, les deux amis vont affronter de nombreux périples jusqu’à parvenir à se libérer des interdits hétéroflics grâce à l’union inédite de deux combats: celui des homos et celui des femmes. En effet, une improbable émission de radio consacrée au problèmede l’homosexualité, va déchaîner les passions et marquer le début d’une inoubliable aventure politique et sexuelle...
Un film librement inspiré de l’histoire du FHAR, le Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire, et dédié à ses deux leaders, Guy Hocquenghem et Françoise d’Eaubonne. (Comme au Cinéma.com)
DVD
  • Son Dolby Digital 2.0
  • Langue : Français
  • Format vidéo : 4/3
  • Format image : 1:66
  • Couleurs - Pal - Toutes Zones
  • Bonus :
  • Making Of






lundi 21 janvier 2008

Saving face (2004)


USA
Réalisatrice : Alice Wu
Producteur : Will Smith, James Lassiter, Teddy Zee
Scénariste : Alice Wu
Directeur de la photographie : Harlan Bosmajian
Compositeur : Anton Sanko
Monteuse : Susan Graef, Sabine Hoffmann
Chef décorateur : Daniel Ouellette
Comédie Dramatique, Romance
91 mn
Distribution :
Michelle Krusiec (Wil), Joan Chen (Ma), Lynn Chen (Vivian Liu), Jin Wang (Wai Gung), Guang Lan Koh (Wai Po), Jessica Hecht (Randi), Ato Essandoh (Jay), David Shih (Norman).
Synopsis :
Wil, une jeune sino-américaine de 28 ans, vit avec sa mère, Ma, à New York. Elle travaille énormément et sa mère ne comprend pas ce dévouement total à son emploi de médecin qui la prive de réelle vie sociale. Un jour Wil tombe amoureuse de Vivian, une autre jeune femme...
DVD
  • Zone 2Audio : Anglais Dolby Digital 5.1, Français Dolby Digital 5.1
  • Vidéo : Format 16/9 compatible 4/3, Format cinéma respecté 1.85
  • Film en Couleurs
  • Sous-Titre : Anglais, Français
  • Bonus :
  • Commentaire audio de Alice Wu
  • 5 scènes supplémentaires avec commentaire optionnel
  • Making of
  • Carnets de Sundance

Satreelex the Iron Ladies (2003)


Thaïlande
Date de sortie : 03 Septembre 2003
Réalisateur : Yongyooth Thongkonthun
Scénariste : Jira Malikul
Comédie
104 mn
Distribution :
Jesdaporn Pholdee (Chai), Sahaphap Tor (Mon), Ekachai Buranapanit (Wit), Giorgio Maiocchi (Nong), Chaicharn Nimpulsawasdi (Jung), Kokkorn Benjathikoon (Pia), Shiriohana Hongsopon (L'Entraîneur), Phomsit Sitthijamroenkhun (Avril), Sutthipong Sitthijamroenkhun (Mai), Anucha Chatkaew (Juin)
Synopsis :
En Thaïlande, les joueurs d'une équipe de volley-ball démissionnent quand une femme, lesbienne, vient les entraîner. Cette équipe est alors remplacée par une bande de gays, de transexuels et de travestis qui sèment la panique dans les stades! Contre toute attente la joyeuse troupe va se qualifier pour le championnat national. (Comme au Cinéma.com)
Critique :
Une comédie où l'on rit thaï
SATREELEX est revigorant et rafraîchissant. Plus que l’adaptation d’une histoire vraie, le long-métrage de Yongyooth Thongkonthun est une révélation. Après l’horreur et les polars, le cinéma thaïlandais joue la carte de l’humour, et s’en sort admirablement bien.
Frôlant parfois la caricature, SATREELEX échappe au burlesque grâce à la finesse de l’interprétation de ses acteurs. Pour éviter de faire un film de «ghetto» homosexuel, le réalisateur a recruté des comédiens en majorité hétéros. Il a eu raison : ils ont le ton juste. De ce fait, le spectateur s’attache vite aux personnages. On les aime parce qu’ils (elles ?) sont natures, parce qu’ils sont motivés par le sport et non par la victoire. On les adore parce qu’ils ne veulent qu’une chose : être considéré dignement par la société.
Malgré ce casting de qualité, le long-métrage présente des longueurs. Les scènes censées être les plus amusantes sont tellement kitsch qu’on en sourit, ébêté par le grotesque de ces images. SATREELEX a les défauts des premiers films occidentaux traitant de l’homosexualité. Il est touchant mais reste une espèce de fantaisie. C’est un premier pas…
Le long-métrage a aussi les inconvénients d’une première œuvre. Yongyooth Thongkonthun commet quelques erreurs dans sa mise en scène. Certains passages auraient du être coupés au montage afin de donner plus de légèreté au tout. D’autre part, les standards du septième art thaï ne sont certainement pas les nôtres !
Rien d’étonnant donc dans le fait que SATREELEX ait été là-bas un véritable carton au box-office, se plaçant devant MISSION IMPOSSIBLE et X-MEN. 100 millions de bath (1,8 millions d’euros) ont été encaissés en Thaïlande. Le succès a poursuivi le film au Japon, à Hong-Kong, en Australie, en Italie, au Royaume-Uni, en Allemagne, etc. Cet engouement national et international a permis de tourner la suite des aventures de nos héros. SATREELEX 2 est sorti en mars 2003 à Bangkok.
Finalement, SATREELEX-THE IRON LADIES est un objet de curiosité. Ces «dames de fer» nous font passer un réel bon moment et révèlent, par la même occasion, la qualité de la production thaïlandaise. (Marie-Caroline Mabille, Comme au Cinéma.com)
DVD
  • Image : 16/9 compatible 4/3 – Format 1.66
  • Son : Stéréo 2.0 Thaïlandais
  • Sous-titres : Français
  • Bonus :
  • Bande Annonce
  • Interview de l'équipe originale
  • Les acteurs : qui sont-ils ?
  • Carnet musical
  • Satreelex Attitude, Galerie photos

Coming out (1989)

Allemagne
Réalisateur : Heiner Carow
Drame
113 mn
Distribution :
Matthias Freihof, Dagmar Manzel, Dirk Kummer, Michael Gwisdek, Werner Dissel, Gudrun Ritter, Walfriede Schmitt, Axel Wandtke, Pierre Sanoussi-Bliss, René Schmidt, Thomas Gumpert, Ursula Staack, Robert Hummel, Horst Ziethen, Gertraud Kreissig
Synopsis :
Comme c'est souvent le cas, Philipp a découvert son homosexualité en étant fortement attiré par son meilleur ami. Mais il doit vivre dans la norme. Il rencontre une fille timide qui tombe amoureuse de lui et bientôt le couple partage un appartement. Mais Philipp ne peut pas nier son désir d'un jeune homme qu'il rencontre lors d'une soirée...

samedi 19 janvier 2008

Totally F***ed up (1993)

Réalisateur : Gregg Araki
Producteur : Gregg Araki, Andrea Sperling
Producteur associé : Alberto Garcia
Scénariste Gregg Araki
Directeur de la photographie : Gregg Araki
Monteur : Gregg Araki
Ingénieur du son : Marianne Dissard
Comédie dramatique
98 mn
Distribution :
James Duval (Andy), Roko Belic (Tommy), Susan Behsid (Michele), Jenee Gill (Patricia), Gilbert Luna (Steven), Lance May (Deric), Alan Boyce (Ian), Craig Gilmore (Brendan), Nicole Dillenberg (Dominatrix), Johanna Went (Excalibur Lady), Marcus Hu (Un Homophobe), Jon Gerrans (L'Esclave Au Sac Poubelle).
Synopsis :
Le quotidien d'un groupe d'adolescents homosexuels à Los Angeles, entre ennui, rage, expérimentations sexuelles et peur du sida.





Drugstore cowboy (1989)


USA
Date de sortie : 11 Avril 1990
Réalisateur : Gus Van Sant
Producteur : Karen Murphy, Nick Wechsler
Producteur exécutif : Cary Brokaw
Scénariste : Gus Van Sant, Daniel Yost
D'après l'oeuvre de James Fogle
Directeur de la photographie : Robert D. Yeoman
Compositeur : Elliot Goldenthal
Monteuse : Mary Bauer, Curtiss Clayton
Interdit aux moins de 12 ans
Comédie dramatique
100 mn
Distribution :
Matt Dillon (Bob), Kelly Lynch (Dianne), James Remar (Gentry), James Legros (Rick), Heather Graham (Nadine), Beah Richards (Conseiller En Matière De Drogues), Grace Zabriskie (Mère De Bob), Max Perlich (David), William S. Burroughs (Tom Le Prêtre).
Synopsis :
La drogue est la principale raison de vivre de Bob Hugues qui, avec sa femme Dianne et ses amis Rick et Nadine, pille les drugstores de la côte ouest afin d'avoir l'argent nécessaire pour s'en procurer. Mais le jour où Nadine meurt d'overdose, Bob nécide de tout plaquer et d'entamer une cure de désintoxication…
DVD
  • Zone 2
  • Audio : Allemand Stéréo, Anglais Mono, Espagnol Stéréo, Français Mono
  • Vidéo : 16/9 Compatible 4/3, Format cinéma respecté 1.85
  • Sous-Titre : Allemand, Anglais, Espagnol, Français, Grec, Portugais
  • Bonus :
  • Bande-annonce

Amerikanos (1999)

Grèce Réalisateur : Christos Dimas Court-métrage 23 mn Distribution : Christos Dimas, Catheryne Trask, Bob Wott, Maurita Dunthy Synopsis : Tony, immigré grec, débarque à San Francisco en quête d'un rêve américain d'une nature particulière.....

vendredi 18 janvier 2008

When night is falling (1995)

Date de sortie : 17 Avril 1996
Titre original : When Night Is Falling
Réalisatrice : Patricia Rozema
Producteur exécutif : Robert Lantos
Scénariste : Patricia Rozema
Directeur de la photographie : Douglas Koch
Compositeur : Lesley Barber
Monteuse : Susan Shipton
Chef décorateur : John Dondertman
Costumière : Linda Muir
Drame
95 mn
Distribution :
Pascale Bussières (Camille Baker), Rachael Crawford (Petra), Don Mckellar (Timothy), Henry Czerny (Martin), Tracy Wright (Tory), David Fox (Le Révérend Deboer), Clare Coulter (Tillie).
Synopsis :
Camille et Martin s'aiment. Les responsables du collège religieux où ils enseignent leur demandent de légaliser leur union. Camille ne se sent pas prête pour le mariage. La mort de son chien la plonge dans un total désarroi. Sa rencontre avec Petra, irrésistible jeune femme, acrobate dans un cirque ambulant, va remettre en question son amour pour Martin.
DVD
  • Son stéréo 2.0
  • Langues : Anglaise & Française
  • Sous-titres : Français
  • Format vidéo : 16/9 Compatible 4/3
  • Format image : 1'78
  • Couleurs
  • PAL ZONE 2
    BONUS :
  • Galerie photos
  • Catalogue Antiprod
  • BANG BANG JE T'AIME JE T'AIME
  • un film de Myriam Donnasice - Antiprod - 14 min
  • La rencontre nocturne entre une jeune chauffeuse de taxi et sa passagère. L'une en proie à trop de solitude, l'autre ne s'intéresse qu'aux premières fois. Tombant sous le charme de sa passagère, la conductrice décide de l'enlever.
  • ET ALORS ?
  • un film de François Dupeyron - Little Bear - 5 min 30 (extrait de la compilation "L'@mour est à réinventer " - disponible en DVD en février 2004) Marie ne comprend pas pourquoi Lisa la repousse. Lisa lui annonce qu'elle est séropositive…






Profession : Reporter (1975)

Espagne, France, Italie, USA
Titre original : Professione : Reporter
Réalisateur : Michelangelo Antonioni
Producteur : Carlo Ponti
Producteur exécutif : Alessandro von Norman
Scénariste : Mark Peploe, Peter Wollen, Michelangelo Antonioni
Directeur de la photographie : Luciano Tovoli
Compositeur : Ivan Vandor
Monteur : Michelangelo Antonioni, Franco Arcalli
Directeur artistique : Piero Poletto
Chef décorateur : Osvaldo Desideri
Décorateur : Osvaldo Desideri
Costumière : Louise Stjernsward
Maquilleur : Franco Freda
Directeur de production : Ennio Onorati
Thriller, Drame
126 mn
Distribution :
Jack Nicholson (David Locke), Maria Schneider (La Fille), Jenny Runacre (Rachel Locke), Ian Hendry (Martin Knight), Steven Berkoff (Stephen), Ambroise Bia (Achebe), José Maria Caffarel (Le Gardien D'Hôtel), James Campbell (Le Docteur Sorcier), Manfred Spies (L'Étranger Allemand), Jean-Baptiste Tiemele (Le Meurtrier), Angel Del Pozo (L'Inspecteur De Police), Chuck Mulvehill (Robertson, L'Homme Mort), Narciso Pula (Le Complice Du Meurtrier), Gustavo Re
Synopsis :
David Locke, un reporter américain basé en Afrique, tente d'entrer en contact avec des rebelles. De retour à son hôtel, il découvre le corps sans vie de son voisin de chambre, Robertson, un homme lui ressemblant étrangement. Il décide de prendre son identité et de commencer ainsi une nouvelle vie. Il s'empare de l'agenda et des affaires de l'homme. Locke suit alors l'itinéraire indiqué dans l'agenda de Robertson qui l'amènera à Barcelone où il rencontrera une jeune fille mystérieuse. (Comme au Cinéma.com)
DVD
  • Image : 16/9 compatible 4/3 – Format 1.85
  • Son : Mono Anglais, Français, Allemand
  • Sous-titres : Français, Anglais, Allemand, Arabe, Allemand
  • Bonus :
  • Commentaire audio de Jack Nicholson
  • Commentaire audio du scénariste Mark Peploe et de la journaliste Aurora Irvine
  • Film Annonce original





Soudain L'Été Dernier (1959)


Grande-Bretagne, USA
Date de sortie : 23 Mars 1960
Réalisateur : Joseph L. Mankiewicz
Producteur : Sam Spiegel
Scénariste : Tennessee Williams, Gore Vidal
D'après l'oeuvre de Tennessee Williams
Directeur de la photographie : Jack Hildyard
Compositeur : Malcolm Arnold, Buxton Orr
Monteur : William Hornbeck, Thomas Stanford
Chef décorateur : Oliver Messel
Costumier : Oliver Messel
Drame
114 mn
Distribution :
Elizabeth Taylor (Catherine Holly), Montgomery Clift (Le Docteur Cukrowicz), Katharine Hepburn (Mrs. Venable), Mercedes Mccambridge (Mrs. Holly), Albert Dekker (Le Docteur Hockstader), Gary Raymond (George Holly).
Synopsis :
Violet Venable fait venir dans sa demeure exotique de la Nouvelle-Orléans le docteur Cukrowicz, neuro-chirurgien. Son fils Sebastian est mort mystérieusement en Europe, l'été dernier. Sa cousine Catherine, qui a assisté à sa mort, est devenue folle. Violet Venable pense qu'une lobotomie (opération délicate à l'époque) pourrait l'aider à retrouver la raison. Elle laisse entendre à Cukrowicz que, s'il opère Catherine, elle fera une donation importante à son hôpital. Se méfiant des motivations de Mrs. Venable, le docteur examine Catherine. Il la trouve saine d'esprit, sauf lorsque l'on aborde le sujet de la mort de Sebastian. Elle est alors la proie d'hallucinations hystériques, à caractère obscène. Sous l'effet d'un sérum de vérité, et en présence de Mrs. Venable, le délire de Catherine devient plus cohérent et la vérité éclate au grand jour. Sebastian, poète, était un homosexuel qui, pendant des années, s'est servie de sa mère comme « appât ». Lorsqu'elle est devenue trop vieille, Catherine, involontairement, a pris sa place. Lors des dernières vacances, Sebastian a été entouré, poursuivi, mis en pièces et dévoré vivant par une bande de jeunes mendiants affamés, dans les ruines d'un temple païen. Le choc de cet horrible récit fait retrouver sa raison à Catherine, mais amène Mrs. Venable à se réfugier dans un monde imaginaire. (Comme au Cinéma.com)
DVD
  • Image : 16/9 compatible 4/3 - Format 1.85
  • Son : Mono Français, Anglais, Italien, Espagnol, Allemand
  • Sous-titres : Français, Anglais, Allemand, Italien, Allemand, Néerlandais, Hindi, Portugais, Espagnol
  • Bonus :
  • Le film-annonce
  • Le montage photos
  • La galerie de photos
  • Les filmographies

Embrassez qui vous voudrez (2002)


Grande-Bretagne, Italie, France
Date de sortie : 09 Octobre 2002
Réalisateur : Michel Blanc
Producteur : Yves Marmion
Coproducteur : Julie Baines, Enzo Porcelli
Producteur associé : Jason Newmark
Scénariste : Michel Blanc
D'après l'oeuvre de Joseph Connolly
Directeur de la photographie : Sean Bobbitt
Cadreur : Sean Bobbitt
Monteuse : Maryline Monthieux
Chef décorateur : Benoît Barouh
Costumier : Olivier Beriot
Comédie
103 mn
Distribution :
Jacques Dutronc (Bertrand Lannier), Charlotte Rampling (Elizabeth Lannier), Lou Doillon (Emilie), Sami Bouajila (Kevin), Karin Viard (Véro), Vincent Elbaz (Maxime), Denis Podalydès (Jérôme), Clotilde Courau (Julie), Michel Blanc (Jean-Pierre), Carole Bouquet (Lulu), Gaspard Ulliel (Loïc), Mélanie Laurent (Carole), Mickaël Dolmen (Rena-Nanou), Dominic Gould (L'Homme Au Parasol), Barbara Kelsch (Pauline), Nicolas Briançon (Dr Davy), Jade Phan-Gia (Mme Davy), Serge Brincat (Samuel).
Synopsis :
Deux couples et leurs enfants partent en vacances au Touquet, leurs histoires vont se mêler ce qui provequera quiproquos, histoires d'amour et adultères. Pendant dix jours, leur vie va connaître quelques turbulences. Une femme bourgoise, mère d'une fille déjantée, enfermée dans son quotidien, décide de partir faire un break dans un grand hôtel du Touquet sans son mari, agent immobilier, resté à Paris avec son amant. Son amie, moins aisée, en quête d'une reconnaissance sociale, décide de la suivre malgré un mari aigri et radin. Elle fait la rencontre d'une femme mariée à un mari jaloux qui essaie de la prendre en flagrant délit d'adultère. Dans le hall de l'hôtel, un play-boy croise une jeune femme avec qui il entreprend une liaison amoureuse. De son côté, la fille déjantée part aux Etats-Unis avec son amant, second de son père, ce qui ne l'empêche pas de le tromper. (Comme au Cinéma.com)
Critique :
Michel Blanc, avec Grosse Fatigue, nous avait habitué à faire jouer une pléiade d’acteurs. Avec EMBRASSEZ QUI VOUS VOUDREZ, il réitère l’expérience. Cette fois-ci, un vrai florilège d’acteurs : Charlotte Rampling, en bourgeoise frustrée, Jacques Dutronc, en homme d’affaires bisexuel, Lou Doillon, en fille délurée, Carole Bouquet, en épouse épiée par son mari jaloux, Michel Blanc, Karine Viard, en femme complexée sans oublier Clotilde Coureau en mère célibataire. Un concentré de personnalités incarné par une brochette d’acteurs qui ont pris un grand plaisir à tourner ensemble. Michel Blanc a réussi le pari de ne pas tomber dans le film d’acteurs où l’histoire n’est qu’un prétexte à la réunion du cinéma français. Ici, le chassé-croisé de la dizaine de personnages permet à l’histoire de prendre corps en même temps on savoure cet éventail d’acteurs.
Le réalisateur a réussi, également, à recréer une micro-société où l’humour, l’amitié, le mal de vivre, les problèmes conjugaux et familiaux font partie de la vie. Ces couples ordinaires en une semaine de vacances au Touquet se croisent dans le hall de l’hôtel quatre étoiles, certains cachent leur vraie identité, d’autres la trouvent. Karine Viard, par exemple, incarne avec un réalisme déconcertant, l’épouse de classe moyenne qui essaie de ressembler à son amie bourgeoise qui elle s’offre une suite à l’hôtel tandis qu’elle se retrouve dans un petit bungalow. Cette anecdote reflète parfaitement ce qu’a voulu filmer Michel Blanc : les travers et les dessous d’une société en proie à ces failles et à ses tourments avec sa touche humoristique, pour notre plus grand bonheur ! (Anne Le Tiec, Comme au Cinéma.com)
Note du réalisateur :
Vous avez très subtilement adapté le roman de Jospeh Connolly, "Vacances anglaises" en gardant la trame et les personnages mais en gommant là où il y avait caricature et outrance, et en ajoutant ambiguïté et tendresse. Etait-ce votre volonté de départ ? "Quand j’ai lu le roman, j’ai pensé qu’il y avait matière à faire une comédie originale et différente de celles que j’avais pu mettre en scène jusqu’à présent. Par rapport à beaucoup de romans français, on trouvait là ce petit supplément d’inattendu, d’irrationnel dans l’humour que manient très bien les auteurs anglais, ce qui fait rire à la lecture peut s’avérer lourd à l’image et vous embarquer vers la caricature, voir la vulgarité. Il fallait l’éviter."Vous avez cependant conservé la structure, huilée comme une pièce de Feydeau, avec des quiproquos et des portes qui claquent."J’ai suivi la structure, mais j’ai inventé une fin parce que le roman lassait les personnages et les situations en suspens de manière à continuer leurs aventures dans une suite. À l’époque où je tournais, je n’avais pas pu la lire puisqu’elle n’était pas encore publiée. Ce qui me plaisait beaucoup, c’était cette vraie mécanique de vaudeville classique mêlée à un cynisme et un humour grinçant qu’on ne trouve pas dans ces comédies-là et qui masquent souvent des gouffres de désespoir. J’ai gardé la construction qui était pratiquement parfaite pour bâtir un scénario. Je n’avais plus qu’à approfondir les personnages, à les peaufiner pour qu’ils ne soient pas des caricatures. D’ailleurs, les acteurs que j’ai sollicités ne s’en seraient pas satisfaits. Ils m’intéressent tous et ils ont probablement tous un petit bout de moi, bien qu’au départ ils sortent de la tête d’un autre."Vous avez discuté de l’adaptation avec l’auteur ?"Non, il m’avait accordé un droit d’adaptation libre, ce qui est la seule possibilité d’être fidèle à l’esprit d’un texte puisqu’il y a un monde entre ce que l’on lit et ce que l’on voit. C’est mon film, ma vision de son roman, j’ai gardé certaines choses et j’en ai rejeté d’autres. Ce que j’ai pris, je l’ai digéré." (Comme au Cinéma.com)
DVD
  • Image : 16/9 compatible 4/3 – Format 1.85
  • Son : Dolby Digital 5.1 Français.
  • Sous-titres : Français pour sourds et malentendants.
  • Bonus :
  • Making-of
  • Florilège d'interviews
  • Tournée promo, jour de sortie, sortie du film en Italie
  • Anecdotes de tournages : Photos extraites du livre de Thierry Valletoux commentées par Michel Blanc
  • Filmographies
Bande-annonce

Michael (1924)


Allemagne
Titre original : Mikaël
Réalisateur : Carl Theodor Dreyer
Film muet
Drame
93 mn
Distribution :
Walter Slezak, Max Auzinger, Nora Gregor, Robert Garrisson, Benjamin Christensen, Didier Aslan, Alexander Murski
Synopsis :
Le film dépeint les relations ambiguës entre un célèbre peintre, Claude Zoret, et son modèle préféré, Michael. Malgré la conduite de son favori qui le gruge, le vole et profite de lui en toute occasion, Zoret, ayant pour lui des sentiments paternels plus encore que sensuels, fera de lui, sur son lot de mort, son légataire universel.

jeudi 17 janvier 2008

Rebelles (2001)

Titre original : Lost And Delirious
Date de sortie : 8 janvier 2003
Réalisatrice : Léa Pool
Producteur : Greg Dummett, Lorraine Richard, Louis-Philippe Rochon, Richard Rochon
Scénariste : Judith Thompson
D'après l'oeuvre de Susan Swan
Directeur de la photographie : Pierre Gill
Compositeur : Yves Chamberland
Monteur Gaétan : Huot
Chef décorateur : Serge Bureau
Comédie dramatique
104 mn
Ditribution :
Piper Perabo (Pauline Oster), Jessica Paré (Victoria Moller), Mischa Barton (Mary Bradford ''mouse''), Jackie Burroughs (Faye Vaughn), Graham Greene (Ii (Joseph Menzies), Mimi Kuzyk (Eleanor Bannet).
Synopsis :
En Nouvelle-Angleterre, dans un collège exclusivement réservé aux filles de bonne famille, Mary Bradford, une adolescente qui a été abandonnée par ses parents, partage sa chambre avec deux autres filles : Paulie Oster, qui n'a jamais connu ses parents biologiques, et Victoria Moller, qui doit endurer sa famille trop conservatrice. Toutes les trois deviennent rapidement amies.Une nuit, alors que les lumières sont éteintes dans tout le campus, des bruits suspects en provenance d'un des lits réveillent Mary : que sont en train de faire Paulie et Victoria sous leurs draps ? Nullement choquées d'être prises sur le fait, celles-ci dévoilent leur amour à leur camarade de chambrée. Mais lorsque d'autres filles ont vent de cette idylle homosexuelle, Victoria prend peur et rompt leur relation de peur que ses parents l'apprennent… (Comme au Cinéma.com)
Critique :
Teen-movie ? Le film de Léa Pool est, certes, un film d’adolescent, mais il s’accorde au féminin (il se déroule au sein d’un lycée réservé aux filles) et se veut pédagogique. En quoi ? Par l’abord de questions liées à l’éveil sexuel, en particulier celles sur l’homosexualité et ses interrogations satellites : comment l’assumer, faut-il ou non la révéler, les qu’en dira t-on, la réaction familiale… L’enjeu didactique, fort louable, s’essouffle rapidement car ce sujet n’est pas si novateur et si surprenant que ça. Un goût de déjà-vu (BOUND, MAURICE) se répand alors et l’on décroche malgré la justesse d’interprétation des trois jeunes actrices. Celle de Piper Perabo (Paulie) est de ce fait remarquable. L’explication ? La réalisation peu enlevée et très académique, la lenteur des plans (la scène d’ouverture en est un présage) et des séquences mal exploitées telles que le dressage du faucon blessé, le réaction de Mary, le rôle de la rumeur et des adultes enseignants. L’introspection et l’ambivalence des sentiments ne sont pas suffisamment développées par la réalisatrice canadienne pour insuffler au film un air d’originalité dans son traitement et dans ses dialogues. La fin tragique et attendue n’y change rien. Ce film n’a de rebelle que son titre. (Anne Le Tiec, Comme au Cinéma.com)
DVD
  • DVD Zone 2Audio : Anglais Dolby Digital 2.0
  • Vidéo : Format 4/3, Format cinéma respecté 1.33
  • Film en Couleurs
  • Sous-Titres Francais Imposés
  • Sous-Titre : Français
  • Bonus :1 Bande-annonce
  • Diaporama
  • Catalogue BQHL





Nowhere (1997)


France, USA
Date de sortie : 17 Septembre 1997
Réalisateur : Gregg Araki
Producteur : Gregg Araki, Andrea Sperling
Producteur exécutif : Nicole Arbib, Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat, Ilene Staple
Scénariste : Gregg Araki
Directeur de la photographie : Arturo Smith
Compositeur : Elizabeth Fraser
Monteur : Gregg Araki
Chef décoratrice : Patti Podesta
Costumière : Sarah Jane Slotnick
Maquilleur : Jason Rail
Directrice du casting : Karen Margiotta, Mary Margiotta, Rick Montgomery
Interdit aux moins de 16 ans
Comédie dramatique
82 mn
Distribution :
James Duval (Dark Smith), Debi Mazar (Kozy), Rachel True (Mel), Chiara Mastroianni (Kriss), Nathan Bexton (Montgomery), Kathleen Robertson (Lucifer), Christina Applegate (Dingbat), Ryan Phillippe (Shad), Heather Graham (Lilith), Mena Suvari (Zoe), Denise Richards (Jana), Traci Lords (Fille À L'Arrêt De Bus 1), Shannen Doherty (Fille À L'Arrêt De Bus 2), Rose Mcgowan (Fille À L'Arrêt De Bus 3), Jordan Ladd (Alyssa), Scott Caan (Ducky), Jaason Simmons (La Star), Beverly D'Angelo (La Mère De Dark), Charlotte Rae (La Voyante), Teresa Hill (La Fille Sur La Plage), John Ritter (Le Gourou), Devon Odessa (What).
Synopsis :
Version surréelle et hyper-saturée de la série Beverly Hills revue et corrigée sous acide. Voici un voyage dans la journée de Dark Smith, 18 ans, hanté par la fin du monde et la quête de l'amour pur. Cache-cache sous ecsta, métamorphose, hypnose Télévangéliste, viol, enlèvement par les aliens, le tout propulsé dans la plus barge des party.
DVD
  • Zone 2Audio : Anglais Dolby Surround Stéréo, Français Dolby Surround Stéréo
  • Vidéo : 16/9 Compatible 4/3, Format cinéma respecté 1.85
  • Sous-Titre : Français, obligatoires avec la VO
  • Bonus :
  • Chapitrage des scènes.
  • Filmographies
  • Interviews

Mauvaise Education (La) (2003)

Espagne
Titre original : La Mala Educacion
Date de sortie : 12 Mai 2004
Réalisateur : Pedro Almodovar
Producteur : Agustin Almodovar
Producteur exécutif : Esther Garcia
Scénariste : Pedro Almodovar
Directeur de la photographie : José Luis Alcaine
Compositeur : Alberto Iglesias
Monteur : Jose Salcedo
Directeur artistique : Antxón Gómez
Ingénieur du son : Miguel Rejas
Interdit aux moins de 12 ans
Drame, Thriller
110 mn
Distribution :
Gael Garcia Bernal (Angel / Juan / Zahara), Fele Martinez (Enrique Goded), Javier Camara (Paquito), Daniel Gimenez Cacho (Le Père Manolo), Lluis Homar (Monsieur Berenguer), Francisco Maestre (Padre José), Francisco Boira (Ignacio), Juan Fernandez (Martín), Nacho Perez (Ignacio Enfant), Raul Garcia Forneiro (Enrique Enfant), Alberto Ferreiro (Enrique Serrano), Petra Martinez (La Mère)
Synopsis :
Deux garçons, Ignacio et Enrique, découvrent l'amour, le cinéma et la peur dans une école religieuse au début des années 60. Le père Manolo, directeur de l'institution et professeur de littérature, est témoin et acteur de ces premières découvertes.Les trois personnages se reverront deux autres fois, à la fin des années 70 et en 1980. Cette deuxième rencontre marquera la vie et la mort de l'un d'entre eux... (Comme au Cinéma.com)
Critique :
Sublime et envoûtant !
Ils sont aujourd’hui très rares, de plus en plus rares, les magiciens du cinéma, capables de littéralement nous transporter, nous envoûter par la magie du 7ème Art. Pedro Almodovar est de ceux-là, et il nous le prouve une nouvelle fois avec son nouveau film, LA MAUVAISE EDUCATION, un petit bijou cinématographique.En optant pour des choix narratifs hors normes et un schéma scénaristique particulier, il met en scène des personnages complexes et extrêmement travaillés. Pourtant, le tout passe à l’écran avec un naturel et une simplicité déconcertants.Réalité, fantasme et fiction se mêlent ainsi allègrement dans cette histoire tantôt vécue par Ignacio et Enrique, tantôt rêvée, écrite par l’un, ou filmée par l’autre. Et c’est là tout le génie du cinéaste espagnol. Almodovar entraîne son spectateur dans labyrinthe, un jeu de masques parfaitement maîtrisé.
Au cœur de cette réussite se glisse un sublime hommage au cinéma en tant qu’art, et au film noir en tant que genre.Hommage au cinéma en nous montrant ses multiples possibilités artistiques, et en les utilisant au mieux. Almodovar joue sur le temps, sur le mélange constant entre réalité et fiction, sur le dédoublement et le travestissement de ses personnages. Il instaure pour cela un film dans le film, ou plutôt des films dans le film : celui qu’Enrique réalise, ou ceux d’autres cinéastes comme ESA MUJER avec Sara Montiel ou LA BETE HUMAINE de Jean Renoir.Le film noir est quant à lui présent de part de multiples références au genre, comme cette séquence au Musée des Géants de Papier de Valence, "référence (et révérence)" * à la scène du supermarché dans ASSURANCE SUR LA MORT de Wilder.Hommage au film noir également avec la présence de ses figures principales, celles de la femme fatale, du mensonge, de la fatalité. Ici, la femme fatale, c’est le personnage incarné par Gael Garcia Bernal. Ce jeune acteur montant du cinéma hispanique – déjà remarqué dans AMOURS CHIENNES et LE CRIME DU PERE AMARO – est au centre du film, construit sur son personnage. Autour de lui, des comédiens tous savoureux et dirigés d’une main de maître : Javier Camara, incarnant un rôle court mais délicieusement drôle, Fele Martinez, métamorphosé dans un personnage difficile et perturbant, et les enfants, parmi lesquels le très touchant Francisco Boira, interprète d’Ignacio jeune.
Almodovar réussit une prouesse artistique et technique avec cette MAUVAISE EDUCATION qui ne vous laissera pas indifférents. Vous aurez sûrement envie de revoir le film une fois toutes les cartes en mains. Vous pourrez ainsi jouer à décortiquer et analyser ce scénario et cette mise en scène si particuliers mais tellement réussis ! (Amélie Chauvet, Comme au Cinéma.com) *Pedro Almodovar, Notes de Production
DVD
  • Image : 16/9 compatible 4/3 – Format 2.35
  • Son : DD 5.1 et DTS français et espagnol
  • Sous-titres : Français pour sourds et malentendants
  • Bonus
  • Clip du tournage
  • Deux scènes coupées
  • Galeries de photo
  • Bandes- annonces






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