USA
Sortie(s) : 22 février 2006 (France)16 septembre 2005 (USA)
Réalisateur : Paul Etheredge-Ouzts
Scénariste : Paul Etheredge-Ouzts
Directeur de la photographie : Mark Mervis
Monteur : Stephen Dyson
Chef décorateur : Matthew Ferguson
Monteur : Stephen Dyson
Chef décorateur : Matthew Ferguson
Epouvante, Horreur, Thriller
85 mn
Distribution :
Dylan Fergus, Bryan Kirkwood, Hank Harris, Andrew Levitas, Matt Phillips, Samuel Phillips, Kris Andersson, Shaun Benjamin, Wren T. Brown, Miguel Caballero
Synopsis :
C'est la nuit d'Halloween, la nuit où tout est permis. A West Hollywood, pour la parade, des milliers de personnes ont revêtu les costumes les plus déments et les plus fabuleux. Le sexe, la drogue et le rock 'n roll envahissent les rues. Mais un serial killer, collectionneur de têtes, s'est glissé parmi les fêtards. Un groupe de quatre amis pris comme cibles par l'assassin va tenter de survivre à cette fête d'enfer…
[La veille d’Halloween, deux garçons, qui s’aimaient dans une voiture, sont décapités par un tueur inconnu et masqué. La nuit d’Halloween sera encore plus sanglante, mais le tueur se fait prendre.
Ambiance très hard rock. Tous les personnages sont homosexuels, et très beaux, notamment le héros du film, Eddie, joué par Dylan Fergus, dont c’est le premier film au cinéma. C’est lui qui abat l’assassin, dans une scène curieuse : il a été établi que son personnage, qui a perdu un œil (rassurez-vous, il a un œil de verre et n’est pas plus défiguré que sur la photo ci-contre), est très maladroit au tir. Lorsque son nouvel ami, agressé par le tueur, lui demande de lui tirer dessus, il le fait : l’ami avait prévu que le tireur le raterait, donc toucherait son agresseur !
Une petite série B jouée par des inconnus, qui ne tente pas de vous en mettre plein la vue, que vous soyez borgne ou pas, et qui évite le gore. C’est reposant.]
Ambiance très hard rock. Tous les personnages sont homosexuels, et très beaux, notamment le héros du film, Eddie, joué par Dylan Fergus, dont c’est le premier film au cinéma. C’est lui qui abat l’assassin, dans une scène curieuse : il a été établi que son personnage, qui a perdu un œil (rassurez-vous, il a un œil de verre et n’est pas plus défiguré que sur la photo ci-contre), est très maladroit au tir. Lorsque son nouvel ami, agressé par le tueur, lui demande de lui tirer dessus, il le fait : l’ami avait prévu que le tireur le raterait, donc toucherait son agresseur !
Une petite série B jouée par des inconnus, qui ne tente pas de vous en mettre plein la vue, que vous soyez borgne ou pas, et qui évite le gore. C’est reposant.]
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