USA, Canada
Date de sortie : 07 Juin 2000
Réalisateur : Mary Harron
Scénariste : Mary Harron, Guinevere Turner
D'après l'oeuvre de Bret Easton Ellis
D'après l'oeuvre de Bret Easton Ellis
Directeur de la photographie : Andrzej Sekula
Compositeur : John Cale
Monteur : Andrew Marcus
Chef décorateur : Gideon Ponte
Costumière : Isis Mussenden
Compositeur : John Cale
Monteur : Andrew Marcus
Chef décorateur : Gideon Ponte
Costumière : Isis Mussenden
Thriller
101 mn
Distribution :
Christian Bale (Patrick Bateman), Willem Dafoe (Donald Kimball), Jared Leto (Paul Allen), Josh Lucas (Craig Mcdermott), Samantha Mathis (Courtney Rawlinson), Matt Ross (Luis Carruthers), Bill Sage (David Van Patten), Chloë Sevigny (Jean), Reese Witherspoon (Evelyn Williams), Justin Theroux (Timothy Bryce), Cara Seymour (Christie), Guinevere Turner (Elizabeth), Stephen Bogaert (Harold Carnes), Reg E. Cathey (Al), Krista Sutton (Sabrina), Landy Cannon (L'Homme À Pierce & Pierce), Ross Gibby, Anthony Lemke (Marcus Halberstram).
Synopsis :
Au coeur des années Reagan, Patrick Bateman est un pur produit de la réussite américaine. Jeune, riche, il est un de ces golden boys qui triomphent à la bourse. Seul le nec plus ultra est digne de lui et il s'emploie à ne retrouver que des symboles qui lui renvoient une image de succès. Il accumule, avec une obsession maladive, les vêtements selects, les relations enviables. Son voeu le plus cher est de se fondre dans cette foule, de trouver sa place au milieu de ceux auxquels il s'identifie.
[Un ou plusieurs personnages secondaires sont homosexuels Rapport à l'homosexualité : Difficile de choisir entre les catégories "Personnage secondaire homosexuel" et "Personnage principal homosexuel" tellement le refoulement de Patrick Bateman est flagrant. Il adore tuer des "pédés". Pourtant il en a aussi une peur maladive, et le simple fait que l'on puisse croire qu'il est pédé le rend physiquement malade. Un peu trop, non ? Il adore aussi regarder des femmes faire l'amour, des femmes soumises bien entendu. Fantasme de domination de la femme objet entretenu par les cassettes pornos qu'il loue.
Notes : Adapté du roman de Brett Easton Ellis, bien plus explicite dans les scènes sexuelles comme dans les meurtres et tortures. Le livre reste inadapté et sans doute inadaptable. Beaucoup de tortures ignobles n'ont pas été représentées. Autres exemples de censure : vieillissement d'une des principales victimes féminines qui était mineure dans le livre. Suppression de certaines obsessions homosexuelles. Enfin, le livre était parfois emprunt d'un homo-érotisme dont il ne reste pas grand chose dans le film.]"Media-G"
- Photo : Christian Bale
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